Ces dernières années, l’on parle moins de la calvitie masculine, pour parler de plus en plus de l’alopécie chez la femme. Généralement due à la détresse psychologique, cette perte de cheveux devient assez flagrante chez environ 2 millions de femmes en France.
Calvitie chez l’homme et la femme : quelle différence ?
La perte de cheveux se manifeste différemment si l’on se réfère au genre. Le nombre de femmes touchées par le phénomène de l’alopécie prend de l’ampleur cette dernière décennie. Chez les hommes, la calvitie est apparemment due à une production excessive de testostérone. Chez les femmes en revanche, la perte de cheveux s’explique autrement. Les causes de l’alopécie y sont effectivement plus variées que chez les sujets masculins. Aujourd’hui, l’on a pu détecter 3 types d’alopécie féminine, généralement liée à un déséquilibre hormonal, mais aussi au stress.
Principales causes de l’alopécie féminine
L’alopécie touche 1 femme sur 5 à partir de 50 ans. Contrairement au cas de l’alopécie chez l’homme, l’altération capillaire chez la femme n’est jamais entière. Elle s’explique davantage par un amincissement du volume capillaire, plutôt qu’à une perte généralisée, comme dans le cas d’une alopécie dite diffuse.
La forme androgénétique de ce phénomène est la plus courante. Elle est provoquée par le stress psychologique, mais aussi métabolique. Le corps réagit différemment face à la consommation de produits médicamenteux. Les cheveux peuvent également tomber en raison d’une carence nutritionnelle.
L’on peut également parler de l’alopécie par traction. Cela suppose de faire vivre l’enfer à ses cheveux ou de provoquer sa propre perte. En effet, lorsqu’on malmène trop sa chevelure, que l’on tire trop fort vers l’arrière, les bulbes finissent par céder.
Aussi, outre la cause hormonale, il y a le facteur traumatique, la cause psychologique sans oublier l’aspect androgénétique.
Stress, traumatisme : comment éviter l’alopécie
Le stress et l’hyperactivité sont deux raisons qui font littéralement s’arracher les cheveux. Face aux agressions extérieures, nous sommes tous égaux. En revanche, certains individus sont plus résistants que d’autres. Dans les conditions de vie habituelles, certaines personnes résisteront mieux à la fatigue et au stress que d’autres.
Dans un premier temps, l’on évitera les carences et les régimes alimentaires à répétition. L’absence ou l’insuffisance en certains minéraux et vitamines sont toujours dévastatrices pour les cheveux.
Si l’on constate en revanche que l’on perd les cheveux en dépit d’une hygiène de vie raisonnable, il convient de constater un médecin. Ce dernier prescrira à cet effet un bilan hormonal et une prise de sang complet.
On prend soin également de bien lire l’étiquette des produits et soins capillairesque l’on utilise, et d’aller doucement sur l’usage du séchoir. Plutôt que de maltraiter son cuir chevelu avec un sèche-cheveux, on opte pour une serviette ultra absorbante ou on laisse les cheveux sécher au soleil et/ou à l’air libre.
Certains compléments ont également l’avantage d’aider les cheveux à pousser et à rester en bonne santé. Ce sont notamment les suppléments tels que la levure de bière, conditionnée sous forme de gélules et disponible en pharmacies et en parapharmacies.
La greffe de cheveux, solution contre l’alopécie
La greffe de cheveux se présente comme l’une des solutions les plus efficaces contre l’alopécie. Elle permet de la traiter définitivement. Vous avez le choix entre la technique FUT et la technique FUE. Sur ce site (Cliquez ici) vous pourrez trouver une clinique spécialisée dans la greffe de cheveux en France, en Belgique, au Maroc, en Suisse, en Tunisie, en Turquie…